Le centre sportif de l’université
de Kinshasa a été créée vers les années 1958, à cette époque la république du
Congo n’avait pas des structures sportives officielles. En 1963, on ne trouve
aucune trace de sport organisé, ni à l’école, ni à l’université.les activités
avant 1963 à l’Unikin revêtaient donc toujours un caractère sporadique. Après
des rencontres avec des experts un des ministres des sports et jeunesses, il y
a eu en 1964 une structuration de sport à l’école et à l’université.
Monsieur Joseph GHESSQUIERE,
professeur à l’université de lovanuim, Le fondateur de ce centre.
Ce centre comprend des terrains
ci-après : deux terrains de football, l’un de terrain est réhabilité, il
répond au normes modernes ;par la coopération allemande ; deux
terrains de basketball tous réhabilités par la même coopération ;une
piscine mesurant 50m correspond à l’exigence internationale ; un terrain
de volleyball,, un terrain de tennis.
La gestion du centre sportif
La faculté de la psychologie
assurait la gestion de centre pour le besoin de l’enseignement
universitaire.Les gestionnaires de ce
centre faisaient partie du conseil de faculté au même titre que les personnels
et les professeurs de cette faculté.
Quelques années plus tard la
faculté de médecine, le département de la médecine physique prend la gestion.
Les modalités de fonctionnement provenaient de la médecine physique. Toujours
dans le cadre de l’enseignement données des associations et activités
culturelles, sportives organisés à l’université de Kinshasa, acquérir et
maintenir et moderniser les infrastructures et équipements sportifs ;
-offrir
aux étudiants et leurs enseignants ou encadreur un bon cadre pour leurs travaux
pratiques dans les différents domaines culturels et sportifs
-maintenir
veiller ou susciter le sens artistique et culture ainsi que le gout au sport
des membres de la communauté universitaire par l’organisation la promotion et
la supervision des activités culturelles et sportives sur le site universitaire.
Organigramme
de la division culturelle
Directeur
Division
Sport
Division culturelle
Logistique et organisation
Bureau sport individuel
Bureau sport collectif
comptabilité
Intendant
Le
directeur : Manzanga Isalanga Sanza
Chef de
division
Organisation
et logistique : Ucima Jacob UNEN
Bureau
comptabilité : Makumbi Mbala
Acquisition,
installation et maintenance : Lufuakenda Nsangu
A l’approche de 1960, les
événements politiques se bousculent et se précipitent. Les journaux édités par
les congolais deviennent de plus en plus militants, une véritable arme
politique qui tire à bouclés rouges sur l’administration coloniale et la
Belgique. Dans ce contexte les politiciens congolais vont jouer un rôle
important dans la presse. En effet, Lumumba l’a compris très tôt, il devint
correspondant de presse de la croix du Congo et de la voix du congolais publiées
à Léopoldville, la capitale. Il entreprit d’écrire aussi pour la compte de
l’Afrique et le monde édité en Belgiqueen 1955 il devint l’éditeur responsable de l’écho postal, organe
trimestriel de l’amicale des postiers. En 1959-1960, il dota son parti
politique de trois organes de combat : Indépendance (Léopoldville), uhuru
(stanleyville) tabalayi (Luluabourg).
Les cinq dernières années
d’indépendance du Congo sont connus pour leurs bégaiement généralisé dû à
l’impréparation et à l’amateurisme de ses dirigeants. Et comme on pouvait s’y
attendre, il en résultat une grande confusion sur le plan politique, économique
et social. La presse congolaise militante et nationaliste, née à la suite des
événements politiques de 1959, déterminer et unie face à l’autorité coloniale, se
trouva fragilisée, divisée, tribalisée, politisée à outrance. A l’aube de
l’indépendance, la jeune presse est ainsi jetée en pâture aux plus offrants.
Les politiciens et certains groupes groupes de pression s’en emparèrent pour
leur propagande. Chaque groupement politique avait son ou ses titres de
presse :Notre Congo pour l’alliance des Bakongo (ABAKO), le congo libre
pour le parti de l’interfédérale, solidarité Africaine pour le parti socialiste
Africain (PSA), Emancipation pour le parti du peuple Action socialiste et
l’indépendance pour le mouvement national congolais (MNC). Cette situation agenda
des mesures arbitraires de l’autorité politique : favoritisme pour
certains, interdictions et arrestations pour d’autres. Redoutant le pouvoir de
la presse, le tout nouveau pouvoir
congolais a reagi de la même manière que l’autorité coloniale. L’arrêté ministériel
de Patrice Lumumba du 11 août 1960 relatif aux mésures exceptionnelles, en cas
de trouble graves, en matière de la liberté de la presse n’est rien d’autre
qu’une copie conforme du décret du gouverneur général du Congo du 06 août 1922,
qu’il a décrié en son temps. Les congolais commencèrent à se demander s’ils
avaient bien fait de renvoyerTintin en
Belgique.
La presse au Zaïre de Mobutu
(1965-1996)
Pendant une grande partie du
règne de Mobutu, toute critique de la personne du président etdes barons du regime, des institutions et du
parti fut interdite. L’article 53 du code pénal prévoyait que les déclarations
du président ne pouvaient donner lieu à aucun débat.
Plusieurs dispositions du code
pénal limitaient la liberté de la presse. En 1972, dans le souci de mieux
censurer la presse l’Etat congolais fusionna certains titres de presse pour les
confier arbitrairement à quelques éditeurs choisis selon leur militantisme et
leur fidélité au guide de la révolution.
Pendanttoute cette periode, les une des journaux se
ressemblent : la photo du président Mobutu est devenue omnipresent . l’essentiel
de l’information de la presse tournait tout autour de ses activités, celles des
ces ministres et du parti unique (MPR). L’AZAP (Agence Zaire presse), la seule
agence d’information et de la présidence de la république. Devenue une
veritable caisse de résonance des idées et des opinions du parti et de ses
sbire, la presse libre cessa
d’exister au Zaire.
Il fallut attendre 1981 pour voir
une petite avancée sur le plan de la libertée. En effet, l’ordonnance loi du 02
avril 1981 introduisait une liberalisation de la presse.
Le début des années 90 soulevant
un vent de changement et suscita beaucoup d’espoir au Zaire et dans le reste d’Afrique.
Mobutu dans son discours du 24 avril 1990, le président décida de donner une
nouvelle orientation à la vie politique du Zaire dans le sens d’une ouverture
démocratique.
Il annonça toute une série de
mésures pour lancer le pays à la voie du changement démocratique :
pluralisme politique, liberté d’opinion, liberté de port vestimentaire, liberté
de la presse et d’expression. Dans la foulée, plusieurs titres de presse sont
nés et se sont constitués en deux blocs : la presse dite d’opposition,
d’une part, et celle proche du pouvoir, de l’autre. Une expression
journalistique, alliant l’information et divertissement, caractérise cette
période : la caricature.
La presse au temps de Laurent Désiré Kabila : le retour du Congo
Laurent Désiré Kabila prend
le pouvoir en 1997. Le Zaïre redevient la République Démocratique du Congo. Sur
le plan des libertés individuelles et d’expression, il n’y a pas de changement.
La presse kinoise dénonça une dérive totalitaire dangereuse et multiplia les
mises en gardes les velléités de retour
au parti unique. En renouant avec les intimidations, les arrestations,
l’emprisonnement des journalistes pour atteindre à la sureté de l’Etat et
collision avec les forces ennemis, on en est revenu aux pires années du
mobutisme. Cette période est caractérisée par l’apparition d’une certaine
presse de la haine-anti rwandaise. C’est dans contexte de persécution et d’atteinte
à liberté d’expression, que jed (journaliste en danger) a vu le jour en 1998.
La situation de la presse Congolaise à l’époque de Joseph Kabila
Après la mort du père, le fils
succéda. Dans son discours d’investiture, joseph Kabila a promis, entre autres,
de garantir la liberté de la presse et d’expression. Cependant cette période
liée aux grandes personnalités politiques. Elle est caractérisée par une
bipolarisation entre une presse pro Kabila et celle pro-opposition. Mais selon
les organisations de défense des droits de la presse et des JED, OMAC
(organisation des médias d’Afrique centrale) et RSF (reporters sans
frontières), le travail des journalistes et leurs personnes n’étaient pas
encore totalement sécurisé. Au congo, comme ailleurs
: Inauguration du nouveau bâtiment, le
ministre Mashako appelle à la préservation du patrimoine acquis
L’Institut
supérieur des techniques médicales, ISTM/Kinshasa est pourvu de ses
infrastructures construites avec des fonds propres. Le ministre de l’Enseignement
supérieur et universitaire, ESU, le Pr Léonard Mashako Mamba a salué samedi, le
pragmatisme dont a fait montre le comité de gestion que supervise le DG Robert
Basosila Lolofa. C’était à l’occasion de la cérémonie d’inauguration officielle
qui a été honorée de la présence d’invités, parmi lesquels des chefs
d’établissements d’enseignement supérieur et universitaire et d’un représentant
de la Coopération chinoise, M. Gang. Les étudiants, principaux bénéficiaires,
ont salué cette réalisation qui est, à leurs yeux, riche de signification.
Car elle
permet à l’établissement concerné de mettre fin à un contrat de bail d’environ
trois décennies qui le liait à l’Université de Kinshasa. Le DG a relevé ce
passé dans son intervention. « La meilleure façon d’encourager la communauté de
l’ISTM/Kinshasa est qu’elle ait quitté le site de l’Unikin pour construire son
propre bâtiment sur fonds propres (…) », a-t-il souligné. Il a félicité les
membres du corps enseignants dont l’engagement à l’œuvre amorcée a été sans
arrêt à ce jour.
Parler des
fonds propres pour un établissement d’enseignement qui a les parents
d’étudiants pour principaux partenaires. C’est ce qu’a fait observer l’orateur.
« L’ISTM/Kinshasa est ce qu’il est grâce à la présence des étudiants et aux
contributions des parents qui donnent le meilleur d’eux-mêmes, pour que cette
institution ait des fonds propres pour son fonctionnement », a-t-il indiqué. Et
de lancer aux étudiants visiblement enchantés et décomplexés : « votre campus
vous appartient, et vous en êtes fiers ! ». Moderniser les établissements de
l’ESU en RD Congo figure parmi les priorités définies par le Président de la
République, pour assurer à bon escient la formation des ressources humaines.
Aussi dans ce contexte, construire sur fonds propres s’avère-t-il un défi à
relever par une gestion saine.
« Nul ne
pouvait s’imaginer que l’ISTM/Kinshasa pouvait être en mesure de construire ses
propres infrastructures. (…) L’homme se découvre quand il se mesure à
l’obstacle, a dit Antoine de Saint-Exupéry », a dit le DG. Outre les cinq
auditoires pourvus des capacités d’accueil allant jusqu’à 1200 places, le site
comprend un laboratoire d’analyse, environ 6000 arbres plantés dans le cadre de
la lutte anti érosive. La coordonnatrice des étudiants a lancé un appel a
sollicité l’implication de l’autorité de tutelle dans la perspective de la
construction d’autres auditoires à deux niveaux et d’une bibliothèque moderne.
Les travaux d’urbanisation du site de l’ISTM/Kinshasa se poursuivant, le représentant
de la Coopération chinoise demandé a la communauté bénéficiaire de demeurer
confiante, après que cinq auditoires aient été apprêtés, dont quatre d’une
capacité de 300 places chacun et un de 600.
L’acquisition
du nouveau patrimoine responsabilise la communauté bénéficiaire, a insisté le
ministre
D’entrée de jeu, le ministre a adressé des
remerciements à l’endroit de Mgr Plevoets. Se tournant vers les étudiants,
l’autorité leur a fait comprendre que ce nouvel acquis était une responsabilité
pour la communauté bénéficiaire. « Il y a un temps pour tout : un temps pour
tout dans la vie : hier locataire, aujourd’hui propriétaire (…) vous avez
montré que vous pouvez « vouloir et pouvoir ».
Organisez-vous
et comptez sur vous-mêmes, prenez-vous en charge comme l’a recommandé M’Zee
Laurent Désiré Kabila. Il faut savoir regarder chez le voisin et suivre son
exemple », a-t-il suggéré. La vie estudiantine est un temps qui prépare le
jeune au service qu’il est appelé à rendre demain à la nation. Le ministre a appelé
les étudiants à faire preuve d’élévation et à mettre fin aux conflits
intempestifs les opposant à leurs « voisins » de l’Unikin.
« Si l’on
investit dans le secteur de l’enseignement, la RDC ne sera pas un pays émergent
d’ici en 2030 », a-t-il rappelé, exhortant les jeunes intellectuels à garder la
flamme du patriotisme et du savoir.
A partir du
31 mars courant, le gouvernement commence la préparation du budget 2012.
L’autorité a rassuré que la rubrique bourse des étudiants ne sera pas mise en
reste. Pour cela, le comité de gestion a été instruit de notamment finaliser
les listes des finalistes.
INAUGURATION DE CINQ
AUDITOIRES D’UNE CAPACITE D’ACCUEIL DE 2000 PLACES A L’ISTM / KINSHASA PAR LE
MINISTRE DE L’ESU
INAUGURATION
DE CINQ AUDITOIRES D’UNE CAPACITE D’ACCUEIL DE 2000 PLACES A L’ISTM / KINSHASA
PAR LE MINISTRE DE L’ESU
Le ministre
de l Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU) Léonard Mashako Mamba a
inauguré samedi 03 Mars 2012, à l’Institut Supérieur des Techniques Médicales
(ISTM) de Kinshasa deux bâtiments abritant cinq auditoires d’ une capacités d’
accueil de 2000 places . Ces bâtiments ont été construits par une entreprise
chinoise sur fonds propres de l’ISTM / Kinshasa.
Le Ministère
de l’Enseignement Supérieur et Universitaire a salué le learship du Comité de
Gestion en matière de construction des infrastructures d’ accueil qui
permettent à son Institution de libérer définitivement les auditoires de l’
Université de Kinshasa ( UNIKIN ).
« La bonne
gestion académique et du patrimoniale de l’ISTM/Kinshasa m’avait poussé à
autoriser le fonctionnement de cet établissement public comme la locomotive
d’autres ISTM du pays en matière de formation des enseignants et des
professionnels de Santé de qualité » , a- t- il dit .
En ce qui
concerne les problèmes liés à l appui de l’ ISTM, à la construction du site aux
équipements , à la bourse d’ étude et aux véhicules de transport , le Ministre
a fait savoir que le gouvernement , les partenaires et le Fond pour la
Promotion de l’Education Nationale ( FPEN ) répondront progressivement à cette
demande de la de communauté de l’ ISTM / Kinshasa .
Il a enfin
salué le partenariat de travail entre l’ISTM et les partenaires chinois qui ont
produit des ouvrages de qualité. Pour le Directeur Général de l’ ISTM , le Pr
Basosila , « Ce Campus est construit sur fonds propres seulement grâce à une
gestion rigoureuse des frais d ‘ études » et le partenariat avec les Chinois
devra aboutir à la construction de 16 auditoires d’ une capacité d’ accueil de
3000 (trois mille) places , de 20 ( vingt ) bureaux , d’un laboratoire , de
deux salles techniques , d’un poste police et 20 ( vingt ) toilettes .
Les cinq
premiers auditoires ont coûté globalement 391.000 USD (trois cent quatre vingt
onze mille dollars américains), a-t-il dit. Le Directeur Général a indiqué par
ailleurs que le Comité de Gestion entend construire dans ce site des homes, des
laboratoires, un complexe sportif et d’autres auditoires.
Le
Représentant de l’entreprise chinoise, M. GANG, s’est dit déterminé de
poursuivre son travail pour mettre à la disposition de l ISTM des bâtiments
modernes.
INSTITUT SUPERIEUR
DES TECHNIQUES MEDICALES DE KINSHASA (ISTM-KINSHASA)